Cette journée “La formation doctorale à l’épreuve des rapports de pouvoir: Contextes institutionnels, genre et générations” a été co-organisée par l’ANEF et par l’association EFiGiES qui regroupe essentiellement des doctorant·e·s mais aussi des étudiant·e·s de premier et second cycle travaillant sur le genre ou les sexulaités. La volonté d’organiser une journée d’études sur les rapports de pouvoir qui traversent la formation doctorale dans l’université française est née de la réflexion croisée de doctorantes et d’enseignantes-chercheuses sur l’expérience des rapports hiérarchiques, des conflits de travail et des situations de violence, en particulier de harcèlement sexuel, à l’université.

Sommaire:

La formation doctorale en quête de statuts
Les doctorant-e-s face à l’institution (Reguina Hatzipetrou-Andronikou et Odile Steinauer)
Historique de la construction du statut des doctorant-e-s à l’INED (Armelle Andro)

Les discriminations hommes / femmes à l’Université
La place des femmes à l’EHESS (Isabelle Backouche, Olivier Godechot, Delphine Naudier)
Pour en finir avec le plafond de verre (synthèse) (Catherine Marry)
Les missions égalité à l’Université: bilan et perspectives (Armelle Le Bras-Chopard)

Le harcèlement sexuel à l’université
Propositions du collectif CLASCHES pour le traitement du harcèlement sexuel à l’université (Christelle Hamel)
Vers une politique publique de prise en(charge du harcèlement sexuel à(l’université (Jacqueline Heinen)

Les actes de cette journée sont publiés dans le Bulletin de l’ANEF n° 57-58